Demeurez prudent tout en restant ouvert. Dieu peut changer les cÅ"urs et les esprits, et quelqu’un qui est un imbécile sans réponse aujourd’hui peut ne pas l’être demain. Ne pas radier complètement quelqu’un après un incident négatif.
Identifier les demandes sincères. Parfois, l’imbécile est mal informé sans le savoir au lieu d’être volontairement ignorant. Il ou elle peut vous confronter à la frustration, mais pas à la haine. Ce sont généralement les personnes auxquelles vous devez répondre.
Considérez le paradoxe. Une déclaration dit de ne pas répondre à l’imbécile, mais celle qui suit immédiatement dit de répondre à l’imbécile. Les deux instructions semblent se contredire à première vue, mais lorsqu’on les examine de plus près, on co! nstate qu’elles fonctionnent ensemble.
Pensez à la foule. Lorsque d’autres personnes lisent ou écoutent votre débat, vous devez vous demander comment les choses que vous dites les affecteront également. Il y a des moments où votre adversaire peut ne plus accepter des arguments fondés sur la raison, mais si vos paroles atteignent un spectateur, continuer à parler peut quand même être utile.
Répondez avec intelligence et amour. Lorsque vous choisissez de répondre à l’imbécile, vous devrez le faire avec l’intention de corriger les malentendus et la désinformation. Votre propre attitude peut être tout aussi importante que celle de votre adversaire, et répondre par désir d’humilier ou d’exaspérer est la mauvaise façon de faire les choses.
Laissons l’adversaire fulminer. Lorsque vous déterminez que la meilleure façon de procéder est de garder le silence, vous n’avez peut-être pas d’autre choix que d’écouter les diatrib! es et les attaques de l’adversaire. Cela peut être exaspér! ant, mais le laisser se promener sera souvent une meilleure option que de tenter de faire taire votre adversaire.
Sachez quand partir. Même une discussion qui a été entamée de façon appropriée peut tourner au vinaigre et prendre une tournure négative. Une fois qu’il devient clair que d’autres conversations seront inutiles, vous devrez probablement vous en éloigner.
Parlez pour la vérité. Si garder le silence peut être interprété à tort comme un accord avec un argument insensé, vous devez parler plus fort. Ceci est vrai quelle que soit l’attitude de votre adversaire.
Restez calme. L’imbécile pourrait essayer de vous faire perdre votre sang-froid. Si vous rejoignez votre adversaire à son niveau, vous deviendrez tout aussi stupide. Ça ne servira à rien à personne.
Comprendre à qui se réfère le mot « imbécile ». Dans ce contexte, un « imbécile » ne se réfère pas à quelqu’un qui manque de bon sens ou de sagess! e académique. Le terme est utilisé ici pour décrire quelqu’un qui manque de sens spirituel.
Pensez à l’importance. Dans certains cas, la question soulevée peut être trop importante pour être ignorée, quelle que soit l’attitude de l’adversaire. Souvent, cependant, le sujet à l’étude peut être relativement sans importance et pas assez important pour être abordé.
Laissez Dieu vous guider. Savoir quand répondre à l’imbécile et quand garder le silence peut être difficile, même pour les apologistes les plus expérimentés. Examinez avec prière les circonstances de chaque cas avant de prendre une décision pour vous aider à déterminer la meilleure façon de réagir.
Persistez là où la vérité prévaut. Si vous faites des progrès dans la correction de la bêtise de votre adversaire â€" même si ce n’est qu’une petite quantité de progrès frustrante â€" continuer la discussion est souvent dans le meilleur intérêt de tous.!
Méfiez-vous des attaques antagonistes. Il y a des moments où q! uelqu’un peut lancer une attaque pleine de malice dans le but de vous humilier ou de vous exaspérer. Ces personnes n’ont généralement pas l’intention d’écouter les contre-arguments, peu importe le son qu’ils peuvent avoir, et y répondre serait un effort futile.
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